Son parti (Vooruit) - et tous les autres d’ailleurs - s’étaient toujours opposés à cette pratique un peu particulière, mais ces contrats malgré tout fort onéreux pèsent aujourd’hui pour près de la moitié du budget fédéral et font tache dans la gestion publique !

Le ministre Vandenbroucke reconnait lui-même un manque de transparence dans le cadre de ces contrats confidentiels, menant à « un problème démocratique » qui ronge la confiance placée en nos gouvernants : « Nous avons recours à ce système parce qu’il s’avère avantageux pour nous. Nous négocions très durement pour obtenir des remises importantes. Mais cet avantage s’accompagne aussi d’inconvénients. Comme de nombreux pays utilisent le système, les entreprises exigent des prix de plus en plus élevés et, au bout du compte, tout le monde est perdant »

Tout ça pour ça ! Malgré la bonne intention, voilà encore un exemple d’une gestion « approximative » qui creuse toujours d’avantage les trous… La faute pudiquement avouée devient de plus en plus difficile à pardonner, même à moitié !

Vilain Coco