Tellement qu’elles tentent cette fois d’imprimer leur nom, à la demande de Mamy Kalamian. L’autre diva du divorce (après la Marina) les a choisies pour assigner l’Etat belge en responsabilité du fait de l’arriéré judiciaire devant les chambres familiales. Myriam Kaminski est aussi dans le coup. Ces actions, souvent désespérées, ont contraint d’autres inconnus à disparaître. On pense à Paolo Criscenzo, de retour dans les catacombes d’où il avait pu brièvement émerger.

Même schéma en France

En France, l’avocat vedette de l’émission TPMP de Cyril Hanouna, Fabrice di Vizio, est même en passe d’être suspendu par la justice disciplinaire pour ses propos « indignes », « grossiers, vulgaires et offensants » sur les plateaux ou les réseaux. « Un procès purement politique », crie l’histrion devant ses soutiens qui veulent entrer de force Place Dauphine dans les locaux ordinaux. Des affidés turbulents qui n’ont pas été admis dans la salle, habilement restreinte par le conseil de l’Ordre en termes de capacité. 3 mois de suspension ont été requis. En cause : « on ne se donne pas en spectacle ». 

En Allemagne aussi

En Allemagne, c’est chaud aussi : les avocats du groupe « Nuremberg 2.0 » (sic) fustigeant les mesures sanitaires en viennent aux mains. Les comptes entre Me Reiner Fuellmich et Viviane Fischer ne font plus les bons collègues. Le premier, précédemment défenseur de victimes de la Deutsche Bank ou de Volkswagen, a peut-être sombré dans la paranoïa.  Il voulait faire condamner un virologue vedette (cela nous parle ici aussi …) et le directeur du célèbre Institut Robert-Koch. Dans son collimateur aussi : Bill Gates, l’OMS ou le conseiller médical en chef du président des Etats-Unis, Anthony Fauci. Le virus semble cependant l’avoir rattrapé : c’est lui à qui l’on reproche aujourd’hui d’avoir mal géré une cagnotte constituée de centaines de milliers d’euros. Une paille sur les milliards d’euros que le robin vantait pouvoir ramener. Avec une originalité de taille : les actions devaient s’étendre vers le Canada et les Etats-Unis. Pas du petit magot. Le premier qu’il voulait assigner aurait été responsable d’avoir développé le premier test PCR. Et le second d’avoir participé à une escroquerie à l’épidémie en laquelle il n’aurait pas cru. 800 euros hors tva était demandé par plaignant, souvent de petits indépendants. Sa Consoeur reproche à son ancien pote de procès de s’être fait payer 29.750 euros par mois (soit près de 660.000 euros au total) par le Comité corona pour le traitement de mails, alors qu’il n’avait aucun accès à ces courriers. Cette tâche aurait finalement été exécutée par une employée payée moins de 800 euros par mois. Il se serait aussi servi sans regard de 700.000 euros de dons. Lui reproche à Me Viviane Fischer d’avoir des « problèmes psychiques ». Un cabinet de crabes au pays de la mer Baltique. Les avocats-clowns ? Une espèce peut-être en voie de disparition.